Parcours
du Jour
Bien,
donc, minuit, nous patientons. 0h20, toujours rien, j’appelle les numéros en
République Dominicaine, toujours rien. Bon, ça craint un peu. J’appelle le
numéro de l’assistance d’aéroport shuttle qui se trouve en Californie.
Heureusement, je tombe sur un opérateur qui parle français. Lui aussi cherche à
joindre les dominicains. Choux blanc, ça craint de plus en plus. Je pars en
direction de la plage et je tombe sur un bar en train de fermer. Heureusement,
la barmaid prend son téléphone et appelle un chauffeur qui dormait
tranquillement. Il est là 10 minutes après et nous prenons la route pour
l’aéroport de Punta Cana. L’opérateur californien me rappelle pour me dire
qu’ils avaient recrédité mon compte. Du coup, je lui demande de me rembourser
aussi le transfert jusqu’à Punta Cana, 100 dollars quand même. Il me confirme
que ce sera fait dés que je leur enverrai la facture de la course. Ouf, on ne
s’en sort pas trop mal. Surtout que nous sommes bien en avance, l’aéroport est
vide. Il est tout ouvert vers l’extérieur et vers les pistes. Les formalités
d’enregistrement et de sécurité se font rapidement. L’appareil de Condor,
l’agence de Thomas Cook, vient de Munich. Nous embarquons directement depuis le
tarmac. Le vol se fait en 3 heures et nous atterrissons à l’aéroport de San
José, la capitale du Costa Rica. Il est 6h 30 local avec un décalage de 7
heures avec l’heure française. Les formalités de visa sont rapides,
récupération des sacs, échange de monnaie en colons costaricains. 1€ égal 581
colones du nom de Cristobal Colon. Un taxi nous emmène jusqu’à notre
ébergement. La circulation est très dense et embouteillée même parfois, mais,
sans coup de klaxon, c’est serein. Nous arrivons trop tôt à l’hôtel. Nous
prenons un excellent petit-déjeuner et patientons la matinée en attendant que
la chambre soit prête. L’occasion de découvrir touts les petits patios à
l’ambiance très zen et écolo, le tri sélectif est poussé au maximum. A 14h, le réceptionniste nous propose une
chambre qui ne correspond absolument pas à la description donnée sur le site de
Booking. Après discutions, il nous trouve une chambre correspondant mieux à notre
attente. Nous nous rendons ensuite au centre ville, sans charme particulier. Des
grapheurs ont laissés des traces de leurs passages un peu partout sur les murs.
Les magasins sont agencés en vrac. Nous achetons de quoi boire et nous
restaurer. Visite jusqu’à la place de la culture. Un petit creux et nous
mangeons une belle part de pizza dans une petite pizzeria. Retour à l’hôtel, le
ciel commence à charger. 36 h que nous sommes debout, je pense que la nuit
prochaine va être réparatrice.
Demain,
visite de San José
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