Mardi 30 avril : Déplacement entre Bangkok et Nice via Dubaï.
Nous rentrons dans l’A 380. Toujours aussi confortable. Le décollage
se passe sans problèmes. Nous survolons Bangkok, puis nous regardons quelques
films entre le repas et les périodes de somnolence. Vers 4h 40, atterrissage
sur l’aéroport de Dubaï. L’avion arrive trop doucement et se pose juste au bout
de la piste. Cela cogne un peu. Débarquement et nous déambulons dans l’immense
zone Duty-free. Tous les passagers du monde se croisent, africaines en boubou, pèlerins
pour Djedda tout en blanc, c’est marrant d’observer tout ce petit monde. Vers
9h45, de nouveau embarquement dans un Boeing 777. Notre compagnon de voyage est un jeune
champion de moto trial qui revient du Japon. Excellent petit-déjeuner, comme
nous sommes en fin d’appareil, nous bénéficions de tout le rab de croissants.
Puis, films et survol de l’Arabie et nous montons très au nord pour éviter le
survol de la Syrie. Turquie avec encore des sommets enneigés. Grèce, Italie et
survol de Naples. Arrivée au dessus de la baie des Anges et un poser tout en
douceur qui vaut un tonnerre d’applaudissements aux pilotes. Nous récupérons le
premier sac à dos rapidement, mais devrons patienter plus de 20 minutes avant
de retrouver le second. Nous prenons le bus pour la gare ferroviaire. Un groupe
d’asiatiques en sacs à dos voyage comme nous. Arrivés à la gare, nous achetons
nos billets de TER et prenons le train qui s’arrête à toutes les gares du
parcours vers Draguignan. Il fait très beau et c’est plaisant de retrouver tous
ces paysages méditerranéens sous le soleil. Arrivés à destination, nous
retrouvons avec une grande joie et beaucoup d’émotion, Jackie qui nous conduit jusqu’à
la maison.
Encore une belle aventure
qui se termine, 11031 kilomètres et 21343 photos prises en 116 jours, entre
Birmanie, Philippines et Thaïlande.
Des millions de
sourires échangés et des souvenirs plein la tête et le cœur.
Merci à tous nos fidèles
lectrices et lecteurs, qui par leurs
commentaires nous ont accompagnés au cours de ces journées de bonheur.
Pas de point final,
car nous ne pensons qu’à une chose, repartir !!!